A. Notre philosophie de travail
La société IM@GINATION CONSEIL INFORM@TION a pour objectif de s’inscrire dans la durée. A cet effet, nous proposons en accord avec cette philosophie :
1. Les modalités des interventions
Trois modes d’intervention sont pratiqués :
- L’accompagnement au domicile du créateur : nous privilégions ce type d’intervention qui permet d’être disponible en fonction des contraintes du créateur (salarié, famille…) ;
- L’accompagnement au siège social : au choix du client ;
- L’accompagnement téléphonique : pratique pour les prises de contact, les demandes d’information ponctuelles mais aussi les situations d’urgence…
2. Les prestations
a) Les missions d’accompagnement à la création
Les prestations de la société IM@GINATION CONSEIL INFORM@TION consisteront donc :
a) Durant la phase de création, à :
- travailler en étroite collaboration avec lui dans toutes les phases d’analyse du projet et de préparation des documents nécessaires au projet ;
- mener les recherches d'information et de solutions (économiques, financières, fiscales, juridiques et sociales) et à prendre le temps de les lui expliquer ;
- l’accompagner s’il le souhaite pour certaines démarches sensibles (Administration, banques...).
b) Dans la phase de vie de l’entreprise, si le dirigeant souhaite être accompagné, à :
- tenir la comptabilité de son entreprise ;
- assurer le contrôle de gestion de son entreprise en suivant les indicateurs appropriés ;
- être disponible pour les mêmes prestations d’information, de conseil et d’imagination de solutions que dans la phase de création.
Exemple AC1 : En 2003, aide à la création d’une entreprise de gestion des rayonnages –étude de marché, identification des intervenants dans un marché oligopolistique, analyse de l’offre de produits, stratégie de développement de la société - politique tarifaire, typologie des ressources…
Exemple AC2 : En 2013, pour une profession libérale nouvellement créée, la mise en place d’une combinaison juridique mêlant plusieurs paramètres a nécessité la mise au point d’un plan d’action très précis afin de valider chaque étape vers l’obtention du résultat attendu.
Exemple AC3 : En 2013, pour une fonctionnaire en « auto-entrepreneur » depuis 2 ans, vérification de la non-exposition au risque de remise en cause de sa dérogation au principe de non cumul, mise en place des outils de suivi de son niveau de facturation par rapport au plafond de CA du statut « auto-entrepreneur », élaboration d’un dossier d’étude pour l’éventuelle sortie du statut d’auto-entrepreneur.
Exemple AC4 : En 2013, accompagnement dans l’ouverture d’un restaurant afro-antillais, avec une composante restauration sur place, une composante Restauration à livrer et une composante Restauration à emporter. Elaboration du dossier de création du restaurant avec les comptes de résultats prévisionnels, les comptes de trésorerie, le plan de financement initial et le plan de financement à 3 ans. Les comptes de résultat ont été déclinés en 3 nivaux : fourchette haute, normale et basse.
b) Les missions d’aide à la gestion et les missions à forte valeur ajoutée
(1) Les missions d’optimisation
Notre métier et notre indépendance nous permettent d’assurer des missions de conseil que la plupart des organismes d’aide à la création d’entreprise ne peuvent pas proposer pour des raisons déontologiques en raison de leur mission de service public.
Nous pouvons utiliser tous les artifices légaux pour optimiser la situation d’un client.
Exemple OP1 : En 2013, la combinaison pour l’exemple 2 a permis de réduire pour ce consultant indépendant, le montant des cotisations sociales (- 23000 euros) et de l’impôt sur le revenu (-47000 euros pour un CA HT de 270 000 euros sur deux ans glissants).
Dans ce cas, comme dans les autres situations moins critiques, nous pratiquons aussi la facturation sur résultat.
(2) Les missions de dynamisation
Ces missions consistent à trouver une solution permettant au projet d’améliorer ses résultats.
Il peut s’agir d’une opération marketing.
Exemple DY1 : En 2003, suite à un retard dans le démarrage du projet et à un manque de moyens pour le gérer, un projet culturel à portée internationale peinait à trouver des financements privés, les financements publics n’étant plus accessibles pour des raisons de délais dépassés. La société IM@GINATION CONSEIL INFORM@TION a trouvé en quelques heures, la solution qui a permis de doper le rayonnement local, national et international du projet : solliciter la participation des prix Nobel d’origine afro-américaine et africaine ! Vous en connaissez au moins deux ! C’est trop facile, vous ne pouvez pas appeler un ami !
(3) Les missions de défense des intérêts
Il arrive souvent que ne pas faire affaire avec un individu ou une société peut nous éviter de perdre de l’argent. Cet argent qui n’a pas été perdu devient alors un gain !
Exemple DI1 : En 2003, un financier a reçu une proposition d’investissement particulièrement alléchante à un moment où les marchés financiers offraient des perspectives mitigées après la bulle spéculative de la fin des années 1990. Le problème des rendements élevés et garantis a toujours défrayé la chronique (Les fonds garantis de la Poste et autres banques dans les années 2000 ; Les pertes de Bernard Madoff). Une recherche approfondie menée en un week-end, via Internet, sur la Suisse et aux Etats Unis a permis d’identifier cette proposition comme étant une escroquerie de type « Chaine de Ponzi » quelques années avant que Bernard Madoff ne tombe en 2008 pour les mêmes raisons. Les capitaux en jeu s’élevaient à 10 millions d’euros. Les gains élevés sont financés par les apports des nouveaux investisseurs…Les problèmes apparaissent lorsque les demandes de remboursement sont supérieures aux demandes d’investissements !
Mais quelque fois il est trop tard et il faut alors récupérer son bien !
Exemple DI2 : en 2007, une entreprise individuelle se retrouve avec plusieurs impayés de la part de la même société cliente. Renseignements pris, la société a fait opposition sur tous les chèques d’une même souche de chéquier au motif que le chéquier aurait été volé. Or les normes en terme d’organisation et de sécurisation du règlement des factures (séparation des fonctions, signatures autorisées…) rendent impossibles le motif de la société, la signature sur les chèques étant la bonne ! La société IM@GINATION CONSEIL INFORM@TION mène une étude approfondie sur cette société (vie de la société, évolution des structures de direction, …), en partant du postulat qu’il s’agit d’un abus de bien social déguisé. Le résultat de notre mission confirme notre approche et nous identifions même le responsable !
Exemple DI3 : En 2009, un client a organisé son insolvabilité. Une entreprise ne parvient pas à se faire payer des factures. Le dossier est au point mort depuis deux ans, les gérants ayant aussi réussi à organiser leur « inexistence » . La société IM@GINATION CONSEIL INFORM@TION parvient en quelques heures a trouvé suffisamment d’éléments sur ces clients indélicats pour que l’un d’entre eux n’ait plus d’autres solutions que régler sa dette au risque de perdre son outil de travail par saisie des parts de sa nouvelle société!
B. Les intervenants
Le principal intervenant s’appuie sur :
- Ses connaissances économiques, comptables, juridiques, fiscales, sociales et de la gestion d’entreprise ;
- Son vécu de créateur et chef d’entreprise (tenue de la comptabilité, démarches et déclarations administratives, sociales et fiscales) ;
- Son expérience et son goût pour le conseil et l’accompagnement de projets à visage humain ;
- Sa capacité de travail, sa motivation et son enthousiasme ;
- Une disponibilité et une écoute 24h/24 7/7jrs et le fait qu’il se déplace chez les clients ;
C. Les principes de facturation
1. La facturation des activités d’accompagnement
Les modalités de facturation de la société IM@GINATION CONSEIL INFORM@TION sontl :
- Facturation à la ½ journée en fonction de la taille du projet (de 15 euros l’heure pour les micro-entreprises à 30 euros HT pour les entreprises au régime réel simplifié d’imposition) que l’intervention se fasse au domicile du créateur ou dans nos bureaux ; Nous facturons le temps passé sur un dossier (Recherche, simulations, entretiens…) ;
- Facturation des prestations traitées par téléphone selon la même grille tarifaire sauf lors la prise de contact; Il peut arriver qu’un client traite plus par téléphone que de visu ;
- Rétrocession de chiffre d’affaire aux apporteurs d’affaire : 10% du CA HT facturé au nouveau client ;
- Pas de facturation des interventions lors de situations de crise imprévues et impactant gravement l'entreprise (ex : décès d'un associé, changement brutal de réglementation, rupture avec un client ou un fournisseur stratégique...).
Sur ce point, je m’explique : dans un contexte de crise grave, le créateur ou le gérant de l’entreprise a besoin de se sentir écouté et soutenu sans avoir à se préoccuper de ce que cela lui coûtera !
Priorité sera donnée à la sortie de crise.
Une éventuelle facturation, selon les modalités ci-après, interviendra lorsque la solution trouvée aura assuré la continuité du projet ou de l’entreprise.
2. La facturation des missions d’aide à la gestion ou à forte valeur ajoutée
Il s’agit le plus souvent de mission d’optimisation fiscale ou sociale mais d’autres sujets tels qu’une solution marketing pour doper un projet, ou le résultat d’une enquête approfondie sur un client ou un fournisseur peuvent avoir un fort impact financier sur le patrimoine de l’entreprise ou du gérant.
Cet impact peut être un gain mais il peut aussi être la limitation ou réduction d’une perte potentielle.
a) Modalités de mise en œuvre de la facturation sur résultat
Toute demande d’intervention pour ce type de mission fait l’objet d’un état des lieux, d’un dossier d’étude avec une simulation chiffrée des solutions envisageables. Le client choisit la solution qui répond le mieux à ses objectifs (effet court terme / effet long terme, risque juridique / gain potentiel, liquidité / gains futurs…)
Le gain avéré ou potentiel ou la perte évitée de la solution retenue par le client est soumis à un intéressement sous la forme d’une rétrocession à la société IM@GINATION CONSEIL INFORM@TION d’une partie du gain escompté ou avéré.
Les modalités varient selon le caractère certain et avéré du gain :
- Le gain est immédiat et certain : rétrocession immédiate de 10% HT du gain ;
- Le gain est soumis à condition : une provision est constatée (2% à 5% HT du gain escompté) et une régularisation (8% à 5%HT) intervient lorsque le gain se réalise ;
b) L’intéressement au résultat à forte valeur financière
Dans ce contexte, ces missions font l’objet d’une double facturation :
- Facturation immédiate au temps écoulé comme pour les missions d’accompagnement ;
- Facturation au résultat.
Rappel : nous ne facturons pas dans un premier temps (ni au temps ni au résultat) les interventions en situation de crise imprévisible (ex : décès d’un associé durant la phase de création de l’entreprise, modification brutale de la réglementation…) mettant en péril la viabilité du projet ou la vie de l’entreprise.
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